Droit de réponse de Monsieur Wilfrid NGUESSO. Article de presse « Willy Nguesso contre Congopage.com » publié sur le site CONGOPAGE.COM le 31 mai 2024

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Paris, le 4 juin 2024

À l’attention de Messieurs Simon MAVOULA
Rédacteur en Chef de CONGOPAGE.COM
Serge Armand ZANZALA Journaliste armandzanzala@yahoo.co.uk

Objet : Mise en demeure préalable à action en responsabilité : Publication d’un droit de réponse de Monsieur Wilfrid NGUESSO Article de presse « Willy Nguesso contre Congopage.com  » publié sur le site CONGOPAGE.COM le 31 mai 2024

Messieurs, Comme convenu, je vous prie de bien vouloir trouver, ci-dessous, le droit de réponse à publier sur le site internet CONGOPAGE, conformément aux dispositions de l’article 13 de la Loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse : Suite aux allégations préjudiciables diffusées sur le site internet CONGOPAGE, le conseil de Monsieur Wilfrid NGUESSO tient à exercer, dans un esprit de transparence, son droit de réponse dont le seul objectif est de rétablir la vérité et qui est le suivant :

Monsieur NGUESSO dément de la manière la plus catégorique les allégations proférées à son encontre, à savoir qu’il serait l’investigateur d’un prétendu trafic d’armes entre la République du Congo et le Rwanda. Les arguties diffusées par CONGOPAGE pour parvenir à cette conclusion sont parfaitement artificielles. Il est rappelé que Monsieur NGUESSO, en sa qualité de Sénateur, représente les collectivités locales de la République. Une telle présentation de Monsieur NGUESSO par CONGOPAGE porte gravement atteinte à son honneur et réputation.

Dans ces conditions, et compte tenu de ce qui précède, je vous mets en demeure de publier cette réponse dans les 48 heures conformément aux dispositions de la Loi du 29 juillet 1881 relative à la liberté de la presse, à défaut je n’aurais d’autre choix que de porter cette affaire devant les juridictions compétentes. Vous souhaitant bonne réception des présentes, je demeure naturellement à la disposition de tout conseil que vous pourriez avoir désigné.

Je vous prie d’agréer, Messieurs, l’expression de mes salutations distinguées.

Kevin Grossmann