Ah, le Congo, ce magnifique pays où même les contrats de vente de terres réussissent à devenir des intrigues aussi passionnantes qu’une série télévisée ! Malgré le compromis trouvé entre le gouvernement et le Parti Congolais du Travail (PCT), il est évident que cette affaire ne peut pas s’arrêter là.
En attendant, nous suivons le conseil de Jean-Claude Bikoumou : « Make noise » . Et croyez-moi, nous allons faire du bruit !
Le Compromis ? Une Simple Chanson de Karaoké !
Le 7 juin dernier, un compromis a été trouvé entre le gouvernement et le PCT.
Vous savez, ce genre de compromis qui ressemble plus à une chanson de karaoké qu’à une véritable résolution de problème. Oui, tout le monde chante ensemble, mais personne ne sait vraiment les paroles. Et pour cause, le PCT n’est pas une institution constitutionnelle !
Imaginez demander à un chef cuisinier de réparer votre voiture... c’est à peu près aussi logique.
Des Signatures Plus Rapides Que des Pizzas Livrées
Et parlons-en de ces contrats ! Signés en solitaire par le Ministre de la Coopération internationale et de la Promotion du Partenariat Public-Privé, Denis Christel Sassou Nguesso.
Il a agi plus vite que le livreur de pizzas de votre quartier, sans même demander l’avis des autres ministres. Et hop, une vente de terres !
Malheureusement, il a oublié un petit détail appelé "Constitution".
Pas de référendum, pas de passage par le Parlement.
C’est comme organiser une fête surprise sans inviter personne. Surprise !
Justice Pour Tous !
Nous pensons qu’il est temps que la fête s’arrête et que la vraie justice commence.
Le président Denis Sassou Nguesso, le Premier ministre Anatole Collinet Makosso, ainsi que les ministres Denis Christel Sassou Nguesso, et des Affaires foncières et du Domaine public, doivent être tenus responsables. Imaginez une grande scène de tribunal avec eux sur le banc des accusés. Qui aurait pensé que la haute trahison pourrait être aussi divertissante ?
Inaction ? Non, Merci ! Si cette affaire devait s’arrêter au simple compromis entre le gouvernement et le PCT, ce serait comme terminer un bon film sans voir la fin. Frustrant, non ?
Cela créerait un précédent dangereux, où des décisions illégitimes pourraient être couvertes par des accords informels. Personne ne veut voir cela se produire.
Nous voulons la version complète, avec tous les rebondissements juridiques !
Faites Du Bruit ! Make Noise !
Nous devons faire du bruit, attirer l’attention sur cette injustice et exiger que les responsables soient tenus pour compte. Imaginez des casseroles, des klaxons, des mégaphones... tout ce qui peut faire du bruit pour que cette affaire ne soit pas étouffée. Continuons à faire du bruit, à dénoncer, à exiger que la justice soit rendue.
Conclusion
La gravité des faits dans cette affaire exige une réponse forte et déterminée.
Le compromis informel trouvé entre le gouvernement et le PCT ne suffit pas à annuler les contrats de vente de terres signés avec le Rwanda. Pour rétablir la justice et garantir le respect des procédures constitutionnelles, il est impératif que le président Denis Sassou Nguesso, le Premier ministre Anatole Collinet Makosso, et les ministres Denis Christel Sassou Nguesso et des Affaires foncières et du Domaine public soient traduits en justice pour haute trahison.
En attendant, n’oubliez pas : « Make noise, noise, noise ».
Continuons à faire du bruit, à attirer l’attention sur cette injustice et à exiger que les responsables soient tenus pour compte. La mobilisation citoyenne est cruciale pour que cette affaire ne soit pas étouffée et que la justice soit finalement rendue. Alors, sortez vos casseroles, vos klaxons et vos mégaphones, et faisons entendre notre voix !
« Make Noise, Noise, Noise ! »