Jacques Chirac fait faux bond à Denis Sassou-Nguesso

Le Canard Enchaîné (14 juillet 2010) a publié un article sur la préface que Jacques Chirac a écrite au sujet du dernier ouvrage de Denis Sassou-Nguesso. « Un livre dont on entendra parler » a pronostiqué Jean-Paul Pigasse dans son édito du 17 juillet 2010 (Les Dépêches de Brazzaville). Allez savoir si l’ami Pigasse n’est pas le « nègre » de Sassou. Selon Le Canard Enchaîné qui trouve les liens « robustes » entre Jacques Chirac et Denis-Sassou-Nguesso, la dédicace du livre en question (« Congo, un rêve d’avenir  ») devait avoir lieu au musée Quai Branly, à l’occasion d’une sauterie dans un lieu (le musée) dont ce n’est pas la vocation première.

Avec l’acidité propre à l’hebdomadaire parisien, les faits de guerre de Denis Sassou-Nguesso et sa kleptomanie sont rappelés avec force détails : mainmise sur la manne pétrolière de son pays, achats d’immeubles en France (biens mal acquis), massacre d’une centaine d’opposants à son régime qui lui a valu une plainte en France pour crime contre l’humanité.

Chirac a pris peur

Suite à cet article du Canard Enchaîné du 14 juillet 2010, le président Denis SASSOU NGUESSO s’est retrouvé seul au quai Branly le 15 Juillet 2010 pour la dédicace de son livre « Congo, un rêve d’avenir  ».
En effet son acolyte Jacques CHIRAC, à décliné l’invitation à la dernière minute prenant ainsi la tangente.

Le rêve d’avenir s’est transformé en cauchemar pour le président congolais Denis SASSOU NGUESSO.

L’ancien président Jacques CHIRAC prend il ses distances avec son acolyte d’hier ? Le président congolais est il devenu infréquentable pour celui qui l’a aidé à verser le sang des congolais pour le ramener au pouvoir ? « Jacques CHIRAC quitte le navire »

Tôt ou tard, tout le peuple quittera ce navire qu’il amène en enfer. Il y ira tout seul.

Par ZINZON